Il n'est de jours où l'on ne parle de tout ce qui contribue, petit à petit, à rendre irrespirable l'air que nous sommes contraints de respirer. Mais, ce dont on ne nous parle jamais, ce sont les «chemtrails», ces tracés chimiques (prononcez kemtrails): comprenez ces nuages en «X» émanant d'avions volant haut dans le ciel.
Plutôt qu'un long exposé dont je serais parfaitement incapable, je renvoie nos lecteurs de langue française sur le site: www.chemtrails-france.com. Il y a, en outre, l'article écrit par Gabriel Stetter et paru dans le journal de Franz Weber No 71, qui a pour titre: Cet azur qu'on nous vole: les chemtrails en Suisse.
S'il est vrai que des microfiltres à particules seraient utiles, s'il est vrai que la prolifération des véhicules dépendant de la pétrochimie n'est plus une solution à long terme, s'il est encore vrai que les plus grandes puissances de notre planète en sont également les plus grands pollueurs, que dire de ce que lâchent, au-dessus de nos têtes et souvent de nuit, des avions dont les pilotes ne sont peut être pas au courant que les produits qui se déversent à partir de réservoirs situés, paraît-il, dans leurs ailes, empoisonnent notre atmosphère depuis des années.
(...) Mais silence radio de nos autorités à ce sujet. On préfère parler de taxes additionnelles, de limitations de vitesse des véhicules ou de leur circulation alternée, voire de péage à l'entrée des cités, toutes mesures évidemment plus faciles pour les autorités que celles visant à empêcher, pour autant que cela leur soit possible, que l'on continue à encrasser notre atmosphère : et nos poumons.
Gérard Neuffer
http://archives.tdg.ch/TG/TG/-/article-2006-02-2289/pollution-ce-que-l-on-nous-cache
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